Maintenant ! C’Est Moi Et Le Le Marchand De Légumes (4) :

Le lendemain mardi, j’ai discuté avec la campagne de l’oncle et je lui ai remis quelques argents pour faire les magasins avec ma femme tout l’après-midi. D’ailleurs, l’oncle a ajouté de l’argent à sa nièce qui a été très heureuse. Après tout, il lui restera les deux après-midi du week end avec son amant. Et à 14h elles sont parties aux magasins et je savais qu’elles ne reviendraient que vers 18h au moins.
Alors, je suis allé au marché désert et j’ai cogné à la porte de l’amant black de ma femme. Il m’a ouvert croyant que c’était elle mais à ma vue, il s’est figé. Je lui ai expliqué, comme à l’autre, que j’ai un message personnel pour lui d’un ami commun. Et il m’a fait entrer dans sa tanière. Comme pour l’autre, j’ai ocupé la chaise et lui s’est assis sur son lit.
Je lui ai servi exactement la même histoire qu’au jeune matchant Algérien jusqu’au point ou je l’ai remercié des plaisirs qu’il a donné à mon épouse. Contrairement à l’autre, l’homme n’a pas rigolé ni même paraître étonné. Il devait considérer que les cocus sont légion et que donner leurs femmes à des blacks séduisants et robustes comme lui, surtout dotés d’un tel zob, est presque naturelle.
Je lui ai d’ailleurs vanté les capacités de son zob, selon ma femme, mais que ce sont, souvent, des exagérations féminines. Je l’ai touché dans son orgueil, comme prévu et, sans crier, gare, il a descendu son pantalon et m’a montré son gros zob, pas encore gonflé mais suffisamment long et lourd pour me donner déjà des frissons de désir.
« ô lala ! hadha zéb anta3 h’mare ! Ch’hal touil ! khalini e’n’messou ! bah e’n’chouf wach galitli marti ! » (ô lala ! c’est un zob d’âne celui la ! laisses moi le toucher ! pour vérifier ce que ma femme m’a dit sur lui ! ). Il laissa tomber son pantalon, prit son zob à la main et me le présenta. « chouf é’zeb éli nak martak mine goudam wa mine lor ! wa zahag’ha bi chahwa ! » (regardes le zob qui a baisé ta femme par devant et par derrière ! et l’a fait hurler de jouissance !).


Je l’ai empoigné et constaté immédiatement sa lourdeur érotique et sa longueur incroyable. Enfin, je l’avais en mains ce gros zob que j’ai désiré depuis plusieurs jours. Je l’ai un peu branlé puis, à genoux, je l’ai mis dans ma bouche et je l’ai sucé, léché et essayé de l’avaler mais il était trop gros et trop long. « ch’haal zebek h’lou wa khchine ! » (ô combien ton zob est doux et épais ! » et j’ai accentué mes sussions et la masturbation. Et comme prévu, mon zob a eu son érection involontaire.
Le gars était enchanté et m’a laissé faire pendant plusieurs minutes jusqu’à amener son zob au sommet de son gonflage. Je voyais qu’il était devenu dur et luisant et ses veines gonflées me donnaient aussi des démangeaisons dans ma terma qui mouillait. Alors, je me suis levé et j’ai ôté mes vêtements en vitesse. Voyant cela, l’homme en a fait autant et encore une fois j’ai constaté avec frissons son corps formidable de puissance et de désirs.
Je lui dis « anta nekete marti ! wa e’ch’haal zahayt’ha bi hadha é’zeb lekhchine ! » ( tu as baisé ma femme et combien tu l’a contenté avec ce gros zob !) et j’ajoutais « ana thani, teremti raha hablate 3aleyh ! raha takoul fya mili chaftou ! haya nikeni ! chouf teremti ! 3ajabték ? » (moi aussi, ma terma s’est affolé pour lui ! elle me démange depuis qu’elle l’a vue ! vois ma terma ! elle te plait ?).
Et lui « ya zébi ! 3andak terma kebira wa 3aridha ! temli lideyne ! » (ô zob ! tu as une grande et large terma ! elle remplit bien les mains !). Puis il m’empoigna les hanches et caressa mes fesses « zébi ! tetemtek h’loua ! bla zqab ! kheir mine n’ta3 martak ! » (zébi ! ta terma est douce ! pas un poil ! meilleure que celle de ta femme !). Oui, on me l’a déjà dit, de ce coté ci, je ressemble à ma femme et j’en suis heureux pour mes futurs amants. « haya ! fi e’sarir ! zébi rah ta’nane bi chahwa ! garabli teremtek » (viens ! sur le lit ! mon zob s’est gonflé de désir ! approches moi ta terma !).
Je me suis positionné ur le lit, le derrière bien haut et les jambes et cuisses largement ouvertes.
Dès qu’il s’est placé derrière moi et entre mes cuisses, il a eu mon anus droit en face de son zob. Et comme l’autre, ça doit être un rite, il me lécha les fesses et l’anus et essaya de faire pénétrer le bout de sa langue dans mon cul.
Une belle terma qui balance sous le vêtement attire et fait bander le zob, mais dès qu’elle découvre la chair de ses lisses fesses et son anus, elle attire surtout la bouche et les lèvres de l’homme avant de s’ouvrir au zob, c’est inévitable.
Cette fois, mon cul n’avait pas besoin de vaseline et mon anus s’ouvrait facilement au désir. C’est pourquoi sa langue m’a chatouillé l’intérieur et le plaisir a commencé avant même l’entrée du zob. « ah ! ch’haal hloua é’daqdaqa anta3 n’salak fi qari! » (ah ! les chatouillis de ta langue dans mon cul sont si douces !).
Et j’ajoutais « dhorka douk zebek fi teremti ! ag3arha lil qlawy ! dakhal zebeb wa khalini e’n3ayate bi chahwa ! » ( maintenant enfonces ton zob dans ma terma ! défenses la jusqu’aux couilles ! fait glisser ton zob et laisses moi hurler de jouissances !). Mes paroles ont du le toucher car, il écarta une de mes fesses avec une main, puis, tenant son zob avec l’autre, il le présenta à l’entrée de mon anus qui commençait à frétiller d’impatience. « dhourk e’tchouf kifach zébi inékék kima naka martak ! » ( tu vas voir comment mon zob va te baiser comme il a baisé ta femme !).
Puis, d’une poussée lente mais volontaire et continue, il enfonça son zob dans ma terma et le poussa jusqu’au fond. Je savais que son zob était épais mais surtout très long et c’est ce fantasme qui me faisait vibrer de désir. Maintenant, dans cette lente poussée, je constatais effectivement qu’il a du atteindre mon ventre et me remplissait totalement.
Et comme prévu, sans le toucher, mon zob se mit en érection par devant. La poussée du zob black dans ma terma doit certainement le frotter à l’intérieur et à travers la peau qui sépare le cul et le pénis. Je sentais la plénitude de ce gros zob dans mes intestins et tout me corps commençait à vibrer en plus de mon zob qui se gonflait.

L’homme commença ses vas et viens par coups de reins puissants et ses couilles claquaient sur mes cuisses. Comme prévu, ma terma commença aussi à libérer ses sucs de désir et cela permettait au gros zob de glisser avec facilités en avant et en arrière. Les coups de reins violents de ce géant secouaient tout mon corps et je voyais par-dessous mon zob gonflé qui balançait au même rythme.
Je constatais que ces mouvements rythmé me donnaient du plaisir par derrière et augmentait du désir dans ma bite. Puis, pour augmenter mes jouissances, l’homme sortait complètement deux ou trois fois, son zob de ma terma, puis il le ré-enfonçait avec rage et violence et mon anus bien élargi lui ouvrait ma terma comme une bouche affamée de désir.
Quant il sortait son zob, je ressentais un grand vide dans mon anus et ma terma, mais quant il l’enfonçait de nouveau avec rage, c’étaient des chocs de jouissance pour mon corps et je ne pouvais pas m’empêcher de hoqueter de plaisir. C’était comme si il me violait la terma et cela m’enchantait et amplifiait le désir qui montait dans ma bite, sans que je la touche.
Il me sodomisa ainsi pendant presqu’une demi-heure sans même s’arrêter. Au début, j’essayais de suivre son rythme de respiration mais par la suite je fus presque étourdi et j’ai abandonné. Je l’ai laissé faire et j’étais comme un pantin entre ses mains et son zob. J’entendais les « flop » de son zob quant il sortait puis les « han » de l’homme quant il l’enfonçait. « ya sahbi ! teremtek e’t’habbal ! zébi é’m’tanane ra’h idawar yatartag bi chahwa ! » ( mon ami ! ta terma m’affole ! mon zob gonflé va exploser de désir !).
Je nageais moi aussi dans la jouissance totale. Cet homme et son zob sont des forces de la nature spéciales en pratique sexuelle. Parfois, il me secouait tout le derrière et ainsi je ressentais la longueur de son zob à l’intérieur de mon sphincter. C’était encore une sensation formidable de possession et de jouissances.
Et, c’est justement lors d’une de ses secousses de tout mon derrière et du mouvement vibratoire de son gros zob dans mon intérieur que mon zob, ayant atteint son top, éjacula sans même que je touche.
J’ai crié de plaisir et l’homme croyant m’avoir malmené me dit « ouja3tak ? habibi ! » (je t’ai fais mal ? mon ami !). Et moi « bel 3akss ! zebek ra’h e’nike fya mine lor wa mine goudam ! » (au contraire ! ton zob est en train de me baiser par derrière et par devant !).
Alors, il continua sa technique et son zob jouait à sa guise à l’intérieur de mes intestins. Enfin, j’ai senti chez lui un léger gonflement supplémentaire, je savais qu’il allait juter car mon amant est arrivé à son top. Il s’accrocha plus durement à mes hanches et son corps se tendit comme un arc « ya e’terma al 3atchana ! hani jay ! dhourk e’n’3amrak b’hlib zébi ! » ( ô terma l’assoiffée ! j’arrive ! je vais te remplir avec le lait de mon zob !). Son zob s’était enfoncé à l’extrême dans mon cul et soudain il expulsa ses rafales de sperme dans le fond de mes intestins. C’était chaud et en abondance et ça chatouillait mon intérieur et tout mon corps réagissait à cette semence.
Curieusement, ces pulsations de son zob en éjaculant et ses coups de reins qui les accompagnaient ont secoué mon zob qui recommençait à me chatouiller. C’était magique, cet homme et son zob sont des magiciens du sexe, en tout avec moi. Je l’avais compris dès la première fois que je l’ai vu monter sur ma femme et son zob avit directement chatouillé ma terma et ma bite. Et je lui dis :
« Zid ! zid e’sgui teremti ! 3amarha bi e’za’n’na esskhouna ! » (continue ! continue d’arroser ma terma ! remplit la avec ton sperme si chaud !). J’étais totalement à la merci de l’homme, de son gros zob et de sa semence. J’étais comme ma femme qui s’abandonnait par devant et par derrière à lui et jouissait de sa liberté. Moi aussi, maintenant je jouis de ma totale liberté sexuelle. Même le gros et long zob noir dont j’avais envie vient de me donner le maximum de plaisir et de jouissances.
Ensuite, l’homme s’est relevé et m’a demandé d’aller vers le bidet du coin, pour me vider et me nettoyer un peu. Pendant ce temps, il restait allongé, nu, sur le lit, les jambes écartées et satisfait de la saillie qu’il venait de faire à ma terma. Son égo doit être au maximum et je dois en profiter. Alors, comme avec l’autre marchant, je suis revenu vers lui pour lécher, sucer et branler son merveilleux zob. Lui, très content, m’a laissé faire jusqu’à faire rebander et regonfler son zob..
Et, moi, pour l’exciter encore mieux, je me suis accroupi sur sa poitrine, en lui tournant le dos et en lui présentant mon large derrière et mes belles fesses sans m’arrêter de sucer et branler son zob. Le tableau charnel de ma terma blanche et largement épanouie et de mon anus brillant de son sperme et ouvert comme une bouche affamée qui appelle le zob au plaisir, ont atteint leur but chez cet homme très sensible sexuellement.
Son désir a fait un bond en avant et j’ai senti que son zob se gonfler plus fortement et répondait à mes avances. Alors, l’homme prit mes hanches à pleines mains et les pétrit de désir, puis il me caressa plus doucement les fesses, me mit deux doigts dans l’anus. Comme ma bite recommençait à bander, il la prise en main et la branla fortement « rak tana’nat ! zebek ougaf ! » (tu t’est gonflé ! ton zob s’est dressé !) et moi « koul marra e’nchouf wala e’nmass zebek lakhchine, teremti takoulni wa zébi yougaf ! » (chaque fois que je vois ou touches ton gros zob, ma terma me démange et mon zob se gonfle !).
Et lui « ana 3araf ! hadha s’mou 3achaq e’terma wa z’bouba ! » (je sais ! on apelle cela l’adoration mutuelle des terma et des zobs !) et il ajouta « marate e’nass kima hakdha ! e’nikou ba3adh’houm ba3adh ! mine tram’houm fi zouj ! » ( parfois, les gens comme ça ! ils baisent entre eux ! chacun donne sa terma à l’autre !). Tout un nouveau monde s’ouvre devant moi avec ces renseignements.
Il continuait à me branler par-dessous puis me tapant sur une fesse il me dit « haya h’bibi ! dakhal zébi fi qarak ! oug’3oud 3’lih ! a’chta7 3’lih b’teremtek ! haya ! » ( allez mon ami ! enfonces mon zob dans ton cul ! assit toi sur lui ! danses sur lui avec ta terma ! allez !).
Ainsi, je l’ai amené exactement à ce que je voulais. M’assoir sur son gros zob et l’enfoncer dans ma terma jusqu’aux couilles. Puis remuer du derrière pour bien le sentir à l’intérieur de mon sphincter. Ensuite, faire mes vas et viens, vers le haut et le bas pour branler son zob avec ma terma. Pendant que je baisais son zob avec ma terma, je voyais le mien bien gonflé et qui balançait au même rythme, mais j’étais occupé par les jouissances de mon cul.
Et comme je voulais terminer ma journée de baise, je lui dis « hani leyk ! ya zeb sahbi ! hahi teremti tachtah fog zebek ! outed dakhel fi qari ! e’nik fya hata lil qlaoui ! » ( je suis à toi ! ô zob de mon ami ! voila ma terma qui danse sur ton zob ! un pieu dans mon cul ! qui me sodomise jusqu’aux couilles !).Et encore une fois, mes paroles l’ont enflammé. Il agrippa mes hanches et c’est lui maintenant qui me soulève un peu puis m’enfonce sur son zob jusqu’aux couilles qui claquent sur mes fesses. Ce furent plusieurs minutes de folie sexuelle. Ma terma coulait de plaisir mélangé aux restes de son sperme.
Je dansais sur ce gros zob et je chantais à voie basse de la joie et du bonheur d’avoir enfin joui de ma liberté totale sans hésitation, ni gène ni honte. J’étais heureux et le plaisir charnel m’étourdissait totalement. Mon partenaire a été à la hauteur de mes espoirs et je comprenais encore mieux les libertinages de ma femme.
Pendant qu’il me sautait sur son zob, j’ai essayé de me branler moi aussi, mais c’était impossible à cause de ses mouvements violents. Avec des « han » de désir et de plaisir qui monte , monte dans son zob, l’homme donnaient de coups de reins qui le soulevaient du lit. Enfin, il arriva à ses fins « wajade teremtek ! hahi jaya el’hamla ! 3assal qlawya t’la3 ! hahou leyk ! » ( prépares ta terma ! la vague arrive ! le miel de mes couilles monte ! le voila pour toi !). Et il se déversa dans mes intestins avec ses jets chauds et puissants, encore plus fort que le précédent et me remplit de plaisir et de jouissances.
Après avoir bien joui, nous nous sommes nettoyés brièvement puis habillés, car l’heure avançait et j’avais peur de rater le retour de ma femme. J’étais très satisfait de cet homme au zob merveilleux et je lui ai promis de revenir peut-être le week end avec ma femme et il pourra alors, nous baiser tous les deux en même temps, terma à coté de l’autre. Cela a fait briller des yeux et il s’épanouit dans un gros rire sonore.
Me prenant entre ses bras, il caressa rudement mes fesses « çah ! teremtek h’louwa ! kheir mine martak ! a3tiha éli yasstahélha ! moula e’zeb lekhchine ! wal khibra fi neik e’terma ! » (sincérement ! ta terma est douce ! meilleure que ta femme ! donnes la seulement à celui qui la méritera ! celui qui a un gros zob ! et qui à une grande expérience dans la sodomie des terma !).
Je l’ai quitté sur ce conseil que j’approuve totalement. Puis j’ai rejoins la maison avant que les femmes ne reviennent des magasins. Pendant mon retour, un peu de sperme de mes fesses et du cul ont pollués mon slip et mon pantalon. Alors, je les ai lavés après ma douche et placés sur le séchoir. Mon plan ayant bien réussit, il faut que je réfléchisse pour le dernier week end après la fête.

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